CID vous informe de l'actualité financière du moment, en vous proposant d'aborder des thématiques diverses et variées dans le domaine de la finance : le crédit immobilier, le crédit à la consommation, le rachat de crédits, les assurances,  les services de banques en ligne, les services innovants dans l'univers de l'économie et de la finance. Nos rédacteurs vous proposent également des points complets sur les nouvelles législations, sur votre pouvoir d'achat ou encore sur la situation des ménages en France.

Dans une volonté de moderniser leurs systèmes, les établissements bancaires Français investissent massivement en direction de nouveaux serveurs. La finalité est d’optimiser les performances afin d’offrir une expérience client enrichit et d’accroître leur présence sur le marché.

La pierre attire toujours les Français.  Pour attirer une clientèle qui profite des taux bas, les propriétaires n’hésitent pas à réviser le prix de leur bien à la baisse.

Afin de suivre l’évolution digitale et de s’adapter aux changements des modes de vie, de plus en plus d’établissements bancaires proposent de finaliser une demande de crédit immobilier avec la signature électronique. Cependant, quelle est la réglementation de cette nouveauté ?  Quels sont ses atouts et ses limites ?

Une étude récente remet en cause l’efficacité réelle des travaux de rénovation sur la consommation d’énergie. Un constat peu reluisant pour les propriétaires ayant consenti à des efforts financiers importants et dont la valeur ajoutée des travaux ne se fait pas suffisamment ressentir.

D’après une analyse établie par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR), les établissements bancaires jouissent d’une situation économique tout à fait convenable. Cependant, si les exigences en matière de rentabilité sont respectées, le rapport émet des réserves quant à leur ratio de solvabilité qui est en dessous de la moyenne Européenne. Une forte rentabilité nécessaire pour assurer le fonctionnement de l’économie.

Depuis quelques années, le monde de la finance commence à faire ses premiers pas en direction d’investissements « responsables » en tenant compte des enjeux sociaux et environnementaux. Retour sur ces nouveaux chemins empruntés par les investisseurs soucieux des grandes problématiques de notre époque.

Depuis quelques années, la LOA (location avec option d’achat) est devenue le principal mode de financement de véhicules neufs en France. Ce marché dominé, de très loin, par les constructeurs automobiles est devenu particulièrement stratégique pour les grands réseaux bancaires.

Alors que les transactions par le biais des mobiles sont destinées à un avenir radieux, les premiers chiffres révélés démontrent un démarrage poussif. Cette méthode de paiement demande encore du temps pour s’installer plus visiblement dans les habitudes de consommation des ménages.

Entre fiction et réalité, l’intelligence artificielle (IA) ne laisse pas indifférent. Les banques y ont recours afin de faciliter l’acceptation ou le refus d’un dossier emprunteur.

En l’espace de quelques années, beaucoup de start-up se sont développées en étant axées sur des services financiers par le biais des technologies, les « fintech ». Le territoire Français recèle d’entreprises de ce genre qui cherchent encore des moyens financiers pour se développer. Mais est-il de leur situation actuelle ?