Immobilier : faudra-t-il encore investir en 2022 ?

Le début d’année 2022 s’annonce décisif pour les projets d’acquisition immobilière. Les taux des crédits immobiliers pourraient repartir à la hausse.

Vers la fin des taux attractifs ?

Le sujet sera probablement au menu des repas des fêtes de fin d’année : l’immobilier et son devenir en 2018. Pour les jeunes actifs, les réunions de famille pourront être l’occasion de détailler leur projet d’acquisition d’un premier bien. Mais à moins d’être du métier, tout le monde ne peut être spécialiste de l’immobilier.

Tout d’abord, si le projet d’achat n’a pu être concrétisé avant la fin de l’année 2017, il faut s’attendre à ce que l’entame de 2022 soit sensiblement similaire. Pour autant, au regard des annonces des banques centrales en Europe et outre-Atlantique (la FED), les conditions de financement pourraient évoluer au cours de l’année à venir. Pour certains spécialistes, cela ne fait pas de doute, la période des taux d’intérêt attractifs va toucher à sa fin. La hausse annoncée sera-t-elle fulgurante ou progressive ? Les experts ne se prononcent pas encore. Mais avant de penser au financement, même s’il demeure primordial, les candidats à l’accession à la propriété vont d’abord devoir trouver leur bien idéal.

La hausse des prix limite le pouvoir d’achat immobilier

Selon leur capacité d’endettement et l’enveloppe allouée à l’achat d’un bien, les résultats peuvent être plus ou moins nombreux. En effet, dans les zones où la demande est beaucoup plus importante que l’offre, le marché a tendance à se tendre et les prix grimpent. Ce constat se vérifie en particulier dans les principales agglomérations du pays. Dans ces zones tendues, le pouvoir d’achat immobilier des Français a reculé. Dans les contrées rurales, la hausse reste contenue mais les biens mis en vente au bon prix restent peu de temps sur le marché. Les négociations ne sont donc plus systématiques. Selon un réseau d’agences immobilières, le nombre d’acquéreurs qui discutent le prix est en recul de 4,2 %.

Enfin, pour limiter le coût total de leur financement immobilier, les primo-accédants ne doivent pas hésiter à solliciter la délégation d’assurance de prêt. Car il faut garder en tête que le montant de l’assurance emprunteur peut représenter jusqu’à un tiers du coût total.


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