Immobilier : un quart des Français prêts à acheter

25 % des citadins des grandes métropoles envisagent d’acheter un bien immobilier dans les 5 prochaines années. Mais tous n’ont pas les mêmes motivations.

Acheter  pour se constituer un patrimoine immobilier

Selon un récent sondage d’opinion, 1 Français sur 4 se déclare prêt à investir dans un bien immobilier dans les cinq prochaines années. Il faut cependant souligner que l’échantillon représentatif ne concerne pas l’ensemble des Français. En effet, seuls les habitants des 10 plus grandes agglomérations de l’Hexagone ont été interrogés à savoir : Paris, Lyon, Bordeaux, Toulouse, Lille, Strasbourg, Nice, Nantes, Aix-Marseille et Rouen.

Au chapitre de la qualité du bien recherché, la tendance d’achat s’oriente davantage vers un appartement en centre-ville notamment chez les hommes. Les séniors préfèreraient aussi investir dans un bien bénéficiant d’une bonne localisation.

Sans surprise, tous n’ont pas les mêmes motivations d’achat. Plus d’un tiers s’intéresse à ce projet dans l’objectif de se constituer un patrimoine. Pour d’autres (33 %), la raison invoquée est celle de cesser de verser un loyer. Les citadins envisagent également d’acheter un bien afin de profiter de quelques mètres carrés de jardin (24 %) ou trouver un meilleur environnement de vie (23 %).

Les Toulousains ont envie d’acquisition immobilière

Les citadins n’ont pas tous les mêmes ambitions. Car ceux sont les Toulousains qui expriment le plus d’appétence pour l’acquisition immobilière (32 %). Les habitants de Nantes, Lille et Lyon suivent la marche (26 %). Au contraire les Niçois, Strasbourgeois et Rouennais se montrent moins intéressés avec 22 % de réponses.

La taille du bien compte également. La surface moyenne est fixée à 83 mètres carrés pour un prix de 241 000 euros. Les Parisiens optent davantage pour un bien de 78 m² à 416 000 euros ce qui reste loin de la réalité puisque les prix actuels sont de 8900 euros le mètre carré.

Si 25 % des citadins des grandes villes ont le souhait d’acheter, ils vont cependant devoir composer avec une certaine stabilité des taux. Cela a pour conséquence de voir reculer le montant emprunté (-0,2 %) quand le nombre de prêts immobiliers produits baisse de 6 % pour le dernier trimestre.


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